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1 (1865) Les femmes dans Molière pp. 3-20
vait reçus de la nature primait même assez ceux de sa sœur Henriette, pour que ce fut à elle, Armande, que se fussent adressés t
Hé, le puis-je, traîtresse ? s’écrie ce pauvre Alceste. Mais comme, pour qu’ il lui pardonnât, il faudrait qu’elle quittât ce m
te l’adresse de Molière à traiter les situations les plus difficiles. Pour que Tartuffe, si aveuglé qu’il fut par la passion et
llait qu’elle eût une certaine dose de coquetterie ; d’un autre côté, pour que le spectateur ne pût un seul instant admettre cet
nu si jeune, lorsqu’elle conseille à Argan de se faire couper un bras pour que l’autre profite mieux, et qu’elle rapporte tous s
ée et écoutée de ses maîtres ; assez bien de sa personne, d’ailleurs, pour que ses appas émeuvent Tartuffe, et lui attirent de s
2 (1910) Rousseau contre Molière
isi par Dubois ; ou plutôt qu’il est admirablement choisi par Molière pour qu’ Alceste, les nerfs tendus, passe sa colère sur son
nté par Molière, pour rendre Alceste ridicule, ce que Molière invente pour qu’ il ne le soit pas. Si Molière, comme Rousseau le v
nt une très forte affectation ; et encore il est détaché suffisamment pour que les moyens ordinaires que I’on a pour capter un h
ne s’en plaint pas dès qu’il en souffre et il suffit qu’il en souffre pour qu’ il ne s’en plaigne pas. Il est bien bizarre, au mo
e, ce que je crois avoir démontré, mais a pris d’extrêmes précautions pour qu’ on ne le prît pas pour tel et pour que l’on ne s y
s a pris d’extrêmes précautions pour qu’on ne le prît pas pour tel et pour que l’on ne s y trompât point. Rousseau nous dit : « 
Racine avait pris des précautions assez véhémentes, si je puis dire, pour que quelques-uns aient pris Andromaque pour ce qu’ell
ans son dessein de le donner pour tel, il a multiplié les précautions pour que l’on ne s’y méprît point, si qu’on ne s’y méprît
de. » Sans doute ; mais je parle des précautions que Molière a prises pour qu’ on ne se trompât point sur son personnage, et vous
ue je considère maintenant comme des précautions que Molière a prises pour que l’on ne pût, décidément, pas tenir Philinte pour
e Philinte serait de le laisser aller, soit avec Célimène, soit seul, pour qu’ Eliante se trouvât en face du seul Philinte. Or, à
qu’il en a une autre qui est urgente. Un homme a mis entre ses mains, pour qu’ il le donne à un procureur à fin de poursuites, un
il faut le conserver sans le passer à d’autres. On n’en a jamais trop pour que de toute part On aille l’employer et l’user au ha
, ils sont excellents. Fabre voit gros ; mais ce n’est pas une raison pour qu’ il voie faux, et même c’en est une pour qu’il voie
is ce n’est pas une raison pour qu’il voie faux, et même c’en est une pour qu’ il voie juste. Il peint un égoïste à l’état forcen
u’il les a prises, Rousseau aurait dû tenir un peu compte. Sans doute pour que le public ne pût pas dire, même par erreur : « Vo
oue. Molière n’est donc pas du côté des scélérats, et il ne fait rien pour que le public soit de leur côté, et il fait quelque c
t rien pour que le public soit de leur côté, et il fait quelque chose pour que , sans être avec le bourgeois gentilhomme, il ne s
les inventez mauvais ! Votre devoir est de les inventer merveilleux, pour qu’ ils servent de modèles aux hommes réels. — Mais ce
u’il aime la ressemblance avec la vie : enfin et surtout, à mon avis, pour que l’on voie, à ne pas s’y tromper, qui il vise : or
tous les vices et tous les ridicules encore s’il se peut. Il le faut pour qu’ à les peindre, Molière assouvisse sa haine contre
qu’à les peindre, Molière assouvisse sa haine contre lui. Il le faut pour que Molière le fasse détester, maudire, mépriser et m
s parce qu’ils sont les dupes des méchants, Et qu’ils sont trop niais pour qu’ on pût les defendre Des pièges que l’on voit les s
honnête homme et si sage. Je vois, tout compte fait, plus de raisons pour que Rousseau ménage Tartuffe, qu’il n’y en aurait pou
lus de raisons pour que Rousseau ménage Tartuffe, qu’il n’y en aurait pour qu’ il l’attaquât.   Je dirai, comme on pense bien, tr
du Malade imaginaire négligé par Rousseau. II y avait peu de raisons pour que Rousseau y songeât ; car ce n’est qu’une farce ;
ousseau y songeât ; car ce n’est qu’une farce ; il n’y en avait guère pour qu’ il l’attaquât. Molière s’y moque des médecins que
la précaution de le dire. Il en a l’air, et cela suffit. Cela suffît pour que l’on craigne que le public ne remporte une impres
torturer les sots, il montre aux sots les coquins exploitant les sots pour que les sots se tiennent sur leurs gardes. Il est un
ands vices et souhaitant aux hommes des vices et des vertus tempérés, pour que vices et vertus soient tolérables : « il fait con
est un amoureux de la vertu, cela a été assez dit dans ce qui précède pour que je n’y insiste point ; niais notez-le bien, il es
donc fondés à croire que la scène tout au moins n’est pas assez nette pour qu’ on puisse assurer que dans l’esprit de l’auteur le
et ce que Brunetière aurait dû dire sans aller plus loin, c’est que, pour que la thèse de Cléante eût valu et pour qu’elle parû
aller plus loin, c’est que, pour que la thèse de Cléante eût valu et pour qu’ elle parût être celle véritablement de l’auteur, i
nt pas pieux et que Molière, qui avait intérêt pour sa démonstration, pour qu’ elle fût inattaquable, à les faire tels, n’y a pas
Arnolphe, vieux relativement à Agnès, l’a laissée ignorante et idiote pour qu’ elle l’aimât. Mais, non point pour être aimé, mais
elles dépendent de nous et par leurs désirs et par leurs besoins ; … pour qu’ elles aient le nécessaire, pour qu’elles soient da
rs désirs et par leurs besoins ; … pour qu’elles aient le nécessaire, pour qu’ elles soient dans leur état, il faut que nous le l
son éducation devant être relative à l’homme, il n’y a aucune raison pour que la femme soit instruite et il y en a de nombreuse
ne raison pour que la femme soit instruite et il y en a de nombreuses pour qu’ elle ne le soit point. En conséquence, pour commen
mme elle, est morte de cette lecture. Pourquoi cette inculture ? Mais pour que la jeune fille soit réservée à la culture de son
l’homme, le mieux est qu’on n’enseigne rien du tout à la jeune fille pour que l’homme, d’abord ne soit pas, ou blessé par une s
oute l’éducation de la femme doit être relative au futur mari, c’est, pour que le mari ne soit pas cocu, toute la connaissance e
Que peut désirer un mari de moyen état ? Que sa femme ne sache rien, pour qu’ il ne lui apprenne que ce qu’il lui plaira qu’elle
ce qu’il lui plaira qu’elle sache, et surtout, ce qui est sa terreur, pour qu’ elle n’en sache pas plus que lui ; que sa femme so
n, assez grands pour charmer les réunions de famille, assez médiocres pour que la femme ne songe pas à briller devant un cercle
e d’ordinaire il aimé si peu qu’il suffit que celui-ci soit d’un avis pour qu’ il soit d’un autre ? Parce que Rousseau, pareil en
d on le cite, oubliant que c’est la base même de son raisonnement. Or pour que ce que je viens de transcrire soit probant, il fa
il pas l’homme qui veut se décrasser et se faire des relations belles pour que l’on parle de lui dans la Chambre du Roi, et n’y
s présomptueux, des charlatans et des pédants ; cela suffit à Molière pour qu’ il se moque d’eux et à moi pour comprendre pourquo
3 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIV. Des Tableaux. » pp. 422-425
rgon au lieu d’Elmire, ne peut que faire une peinture très énergique. Pour que le lecteur puisse tirer quelque fruit de cet arti
t-elle jetter les personnages de la scene dans un trouble assez grand pour qu’ il mérite d’être peint ? Le tableau qui nous le re
4 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXII » pp. 355-377
ée en grâce près de la reine. Nous ne tarderons pas à voir si c’était pour que ma prétendue pénitente fût dédommagée d’un sacrif
que ma prétendue pénitente fût dédommagée d’un sacrifice héroïque, ou pour qu’ elle fût en position de continuer son ancienne vie
de Montespan, et déjà il avait fait parvenir ses ordres à Versailles, pour qu’ elle s’y trouvât au moment où il y arriverait. « B
sa ces paroles accablantes : Ne me dîtes rien ; j’ai donné mes ordres pour qu’ on prépare au château un logement pour madame de M
5 (1885) Études sur la vie et les œuvres de Molière pp. -461
il combat. Le livre de M. Soulié n’était pas, du reste, indispensable pour qu’ ils eussent raison. Leur réplique victorieuse étai
e sa fille une religieuse. Lorsqu’il eut, en 1635, donné 5,000 livres pour qu’ elle prit le voile aux Visitandines de Montargis,
eraient aujourd’hui une somme de 57,000 francs environ. C’était assez pour que le père Poquelin fût indulgent pour l’insuffisanc
sans conteste ni partage, toute la charge, survivance comprise. C’est pour qu’ il n’y eût plus doute à cet égard, qu’il donna cet
cette sirène, et ses comédies reçurent la confidence de ses épreuves. Pour que rien ne lui fût épargné, avant d’avoir la souffra
fils devait avoir huit ans à peu près, quand il mourut ; c’est assez pour qu’ on ait eu le temps de mettre tout son espoir dans
ont elle veut profiter. Il lui semble qu’il n’existe plus d’obstacles pour qu’ elle devienne comtesse de Modène et pour que sa fi
n’existe plus d’obstacles pour qu’elle devienne comtesse de Modène et pour que sa fille reprenne possession des droits de sa nob
Là encore, un père revient, des enfants sont reconnus, et cette fois, pour qu’ on ne s’y méprenne pas, c’est de Naples, comme le
bord, avec laquelle il n’a pas rompu, leurs intérêts étant trop mêlés pour qu’ il ne subsistât pas toujours entre eux les apparen
du rôle presque muet d’Ephyre la Néréide. Ce n’était certes pas assez pour que nous nous intéressions à elle ; mais la lettre de
site, Monseigneur, et l’intérêt qui la cause, me font trop d’honneur, pour que je puisse y voir une indiscrétion. Je vais donc,
es langues étrangères. Tout le monde s’y trompa, Boileau lui-même, et pour que vous n’en doutiez point, voici son aveu. Vous sav
outes les scènes sont obligées de faire sous son fouet de couleuvres, pour que chacune reçoive à son tour son coup et son injure
dam, qui, de même que tous ses pareils, dut être trop sujet à caution pour qu’ on puisse le croire sur parole ? Qui nous dira que
s avec ceux qui sont le produit raffiné d’une Société déjà corrompue. Pour qu’ il vit pleinement sous chacune de ses faces ce mul
tait caché, souterrain, et, de là même, venait son plus grand danger. Pour qu’ il commençât d’être moins redoutable, il fallait s
die ne commence donc qu’après la paix, mais assez à temps, toutefois, pour qu’ il puisse encore abuser des secrets qu’il trouve d
le ; vous avez vu, tout à l’heure, qu’il était aux Condé. Maintenant, pour que vous le connaissiez sous son autre face, Saint-Si
il les a chassés, et ils ont repassé le Rhône. » Ce n’est pas tout : pour que la palinodie fût complète, et pour qu’il fût bien
e Rhône. » Ce n’est pas tout : pour que la palinodie fût complète, et pour qu’ il fût bien prouvé à tous que le prince brûlait ce
ôts qu’il lui serait impossible de supporter. La lettre qu’il écrivit pour que le roi, à qui il n’osait pas s’adresser directeme
é du dépositaire, dont parlait Ninon : il n’en fallait pas davantage, pour que Molière trouvât le moyen excellent et s’en servît
ormations exigées par la tyrannie des circonstances, il faisait tout, pour qu’ elle ne fût pas oubliée ; il tenait adroitement en
» C’était un héritage de courage et d’esprit, beaucoup trop honorable pour que Molière le récusât. Peut-être n’avait-il point pe
s à qui s’adresser plus particulièrement, il a un point de mire ; et, pour que tout le monde sache bien à qui vont ses traits, i
aurait es&a\é lui-même contre Molière ? Il avait assez de fureur, pour que l’idée lui en vînt, et assez de puissance pour cr
qui, après les avoir étrillés, ont livré leur aventure aux comédiens. Pour que la réjouissance soit complète, on feint une récon
et le jour convenu, on emmène à la Comédie les deux pauvres diables, pour qu’ ils s’y voient bafoués. « Le lendemain, dit Franci
is, ce mariage n’offrait pas marché de dupe à notre Hugues Guéru, et, pour que Tabarin y consentit, il fallut que le farceur app
que. Je voudrais qu’on réunit ces deux pièces dans un seul spectacle, pour que le public fût à même de le mesurer mieux, en le v
devine, sa vengeance à la cantonade, sa petite revanche en à parte. Pour qu’ on sache bien à quel point étaient tyranniques les
tion auprès du frère du roi ; de plus, fort ami de Molière, et enfin, pour que rien ne lui manque de ce qu’il faut ici, fort écl
quel s’entassaient tout autant de plates méchancetés qu’il en fallait pour qu’ elle parût sublime aux envieux de Molière. Malheur
veur de Molière qu’il se déclare, sans trop le faire voir, mais assez pour qu’ on n’en doute pas. Vous en jugerez par le récit bi
Tartuffe de Molière Alloit paroître… Il fallut près de trois mois, pour que le public se remît de cette émotion, en épuisant
toutes la plus avancée, et ne fallait-il qu’y mettre la dernière main pour qu’ elle fût complète. L’à-propos du nouvel amour du r
e ce nouveau roman et la représentation de sa pièce, lui auront suffi pour que celle-ci fut entièrement faite et parfaite. Ce qu
n’était pas flatteur. Toujours, chez lui, l’observateur veilla trop, pour que le courtisan put approcher jamais et prendre tout
icement ; mais, le lendemain, un ordre était venu de M. de Lamoignon, pour qu’ on le suspendît, et depuis lors aucun ordre royal
e plus à la ville. Il fallut une impérieuse invitation de Sa Majesté, pour qu’ il consentît à venir égayer de ses comédies le car
t, souffrait des mêmes peines, pouvait-il faire qu’il ne le fût pas ? Pour qu’ il émeuve, il n’a qu’à lui prêter l’éloquence de s
je vous le di, —  Dimanche, fut très aplaudi. Robinet en jure trop, pour qu’ on n’ait pas quelque doute ; son : Aussi vrai que
e par les comédiens, et y menèrent de même ces connaissances et amis, pour qu’ ils y vissent passer leur ridicule, sous le rire d
s, dans la pièce. S’y reconnût-il ? Je ne sais. En tout cas, Molière, pour qu’ il ne lui en voulût pas, s’était mis en garde, par
le législateur, ce droit qui exige des parents l’honnêteté, la vertu, pour qu’ ils puissent à leur tour exiger de leurs fils la s
ise et l’enrichi des campagnes. A l’un, M. Jourdain, celle-ci disait, pour que ses pareils l’entendissent bien : « Tu veux être
ché, un sot, dupe de sa sottise, et dont Molière, en le posant ainsi, pour que son ridicule servit d’exemple, a voulu qu’on se m
une troisième voix en I… Je n’en citerai pas plus long. Gela suffit pour que vous ayez reconnu le Maître de M. Jourdain, sous
tal de la première partie. Je pense donc qu’il ne faut rien négliger, pour qu’ elle soit dans tout son relief. Or, la jouer assis
gardait bien par exemple, d’en faire un homme « tout de vert vêtu. » Pour qu’ Alceste pût être désigné par la singularité que l’
lceste parût chez Célimène avec cette couleur négligée et de campagne, pour qu’ aussitôt le public du temps devinât, avant même qu
pt ans pénitence ès espines et buissons, pour avoir tué une puce ? » Pour qu’ on en put rire réellement, comme le voulait Henry
, on méconnaît le sens donné par Molière, et il faut crier bien haut, pour qu’ on y revienne ! » J’en étais là, tout armé en gue
ère Sarcey, qui, une fois par hasard, devra s’avouer vaincu. Citons, pour qu’ il n’y ait plus le moindre doute, le passage de la
et j’ai peur de le croire ; mais il restera sans doute encore assez, pour que Bressant puisse le revoir dans ce rôle, et s’inst
et j’ai peur de le croire ; mais il restera sans doute encore assez, pour que Bressant puisse le revoir dans ce rôle, et s’inst
ardait bien, par exemple, d’en faire un homme « tout de vert vêtu. » Pour qu’ Alceste pût être désigné par la singularité que l’
ceste parut chez Célimène avec cette couleur négligée et de campagne, pour qu’ aussitôt le public du temps devinât, sans même qu’
oulait qu’on n’en crût que ce qu’il en disait, la déclara fausse, et, pour qu’ elle le fût, la faussa en la reproduisant. Au lieu
t à fait, et ce que je recommande particulièrement à M. René Delorme, pour qu’ il soit bien sûr que la cloche, dite de la Saint-B
ssayer, au contraire, de réhabiliter contre les tentatives qu’il fait pour qu’ on n’y croie plus. Il s’agit de l’esquisse, signée
e Louis XV, raconta au père de M. Campan une anecdote trop marquante, pour qu’ elle soit restée inconnue. Cependant le vieux méde
t, lui, dans la plus correcte tenue de l’homme de cour irréprochable, pour qu’ on sût, dès l’entrée, qu’on allait avoir affaire a
z de bruit, à cause du rang qu’il avait occupé dans le haut commerce, pour que Guy-Patin en parlât : « Il est ici mort, ce matin
6 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXI » pp. 338-354
tablissement des enfants à Versailles, c’est-à-dire à 1674. En effet, pour que le roi fut témoin d’une querelle, et pour que mad
-dire à 1674. En effet, pour que le roi fut témoin d’une querelle, et pour que madame Scarron pût trouver quelque peu de grandeu
ame Scarron pût trouver quelque peu de grandeur dans sa situation, et pour qu’ elle fût du voyage de la Saint-Hubert, et que le r
7 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE X. M. DIDEROT. » pp. 317-332
la lettre qu’elle a trouvée sur la table : elle laisse les deux amis pour qu’ ils puissent librement arranger son mariage. Clai
vent entre sa piece & celle de M. Goldoni : en voilà suffisamment pour que nous nous interdisions un plus long examen là-des
e copierai tel que je l’ai trouvé dans l’Histoire du Théâtre Italien, pour qu’ on ne puisse pas m’accuser de le flatter, & de
8 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre III. La commedia dell’arte en France » pp. 31-58
que leur faisaient les nouveaux venus. Ils s’adressèrent au Parlement pour qu’ il fit respecter leur privilège. La cour défendit
I où s’engage la lutte suprême de la Ligue et de la royauté. Il faut, pour que les fêtes renaissent, attendre que Henri IV ait t
avicchio, le paysan, Mezzettino, troisième zanni, et d’autres encore, pour que la liste fût complète, car les pièces que jouaien
9 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. De l’Entr’acte. » pp. 289-308
ien peint les transports qui l’animent, & sa résolution violente, pour qu’ on tremble de voir exécuter l’indigne assassinat d
lui dit de l’attendre. Madame Murer donne des ordres dans l’obscurité pour qu’ on entoure le Lord quand il sortira. Sir Charles e
voisines : le cœur de tout le monde est trop en presse dans celle-ci, pour qu’ on puisse supposer qu’il s’y fait de la musique ».
10 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIII. De la liaison des Scenes. » pp. 250-260
u secours. Lucas. A l’aide, à l’aide. Mais si l’Auteur a des raisons pour que l’acteur, ou les acteurs actuellement en scene, p
des raisons pour que l’acteur, ou les acteurs actuellement en scene, pour que celui ou ceux qui doivent leur succéder, ne se vo
11 (1825) Notices des œuvres de Molière (IX) : La Comtesse d’Escarbagnas ; Les Femmes savantes ; Le Malade imaginaire pp. 53-492
t un relâchement considérable dans le gouvernement et dans les mœurs, pour qu’ ils osassent en venir à ce point d’impudente dépra
ndue. Sur le titre seul, on avait jugé que le fond était trop stérile pour qu’ il pût en sortir autre chose qu’un ouvrage languis
chargé du personnage . Le fait de la harangue est trop bien constaté, pour que ce dernier soit croyable. Il y aurait eu, de la p
, les facultés de son esprit parurent baisser, et ses parents agirent pour qu’ il fût mis en curatelle. Alors, tel que Sophocle,
des louanges réciproques, et le finissant par des injures mutuelles, pour qu’ il fallût absolument que la querelle entre Trissot
trait ne fût pas reconnu (et, il faut l’avouer, il était assez flatté pour qu’ on s’y trompât), l’auteur eut, pour ainsi dire, le
n pour être bien frappant, et il est trop voisin d’une triste réalité pour qu’ on ne doive pas craindre d’en rire. La pièce ne de
12 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [75, p. 114-115] »
ans ces occasions. Si on lui avait dérangé un livre, c’en était assez pour qu’ il ne travaillât de quinze jours ; il y avait peu
13 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200
oiblesse, & dit au monstre qui la persécute de se rendre visible, pour qu’ elle puisse le combattre avec ses dards. Acte III
ire leurs efforts pour la vaincre. Polilla trouve un secret excellent pour que la Princesse ne fuie plus les deux Princes : il v
vers italiens ; mais l’imitation n’est certainement pas assez marquée pour qu’ on puisse prononcer là dessus. La tirade de Molier
14 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [4, p. 36] »
e sorte que Molière, pressé par les comédiens, obtint un ordre du roi pour qu’ aucune personne de sa maison n’entrât sans pays. C
15 (1801) Moliérana « [Anecdotes] — [72, p. 106-108] »
la coulisse, il voulut entrer, quelques efforts que Molière employât pour qu’ il n’en fit rien. Sancho tirait le licou256 de tou
16 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXX. Des Surprises. » pp. 490-502
endre plus par coup de théâtre que ce qui s’y fait avec grand fracas. Pour qu’ une surprise soit bonne, il faut que rien ne l’ann
e change rien à la situation. Ses défauts m’ont déterminé à la citer, pour qu’ on puisse la comparer à celle de l’Ecole des Femme
17 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64
rope. Cette distinction, je le répète, il suffit d’un peu de bon sens pour que chacun la fasse naturellement, sans effort, toujo
e des plus sages.   L’amour propre tient assez de place dans le monde pour qu’ un prétendu moraliste ait voulu qu’il soit le mobi
le que par prudent intérêt, et trop voisine de l’indifférence égoïste pour que le moraliste ne la condamne point159 ! Comme il f
18 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XIV. Des Monologues. » pp. 261-273
Damon, Ariste. Scene III. Monologue de deux vers qu’Ariste débite pour que Lisette & Damon, qui n’ont rien à se dire, ne
à boire, qu’elle est étourdie, & qu’elle n’est pas ce qu’il faut pour qu’ on puisse lui confier surement une femme à sa prem
19 (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315
œuvres qu’il faut retenir ce trait de Molière et bien s’en souvenir, pour que les sévérités que l’on pourra avoir pour l’œuvre
une expérience de moraliste. La comédie ne corrige personne, puisque, pour qu’ elle corrigeât quelqu’un, il faudrait qu’on se rec
artuffe ne pouvait écrire Monsieur de Pourceaugnac qu’avec dégoût, et pour qu’ il l’écrivît, il fallait qu’il s’y sentît forcé, d
e noir peut toujours dire que ce sont deux extrêmes qu’il a combattus pour que le lecteur s’arrêtât en un milieu qui est la véri
u dans son armoire et de le remettre au bout de trois ans sur sa tête pour qu’ il soit très ridicule. Le temps travaille pour les
d on le cite oubliant que c’est la base même de son raisonnement). Or pour que son raisonnement soit probant il faut qu’il ne so
mme qui cherche savonnette à vilain et à se faire de belles relations pour qu’ on parle de lui dans la chambre du roi et pour y e
entrée comme furtivement, aurait si grand intérêt à la tenir fermée ? Pour qu’ il fasse de pareilles fautes contre l’art, il faut
qu’il en est, avec peut-être un sentiment sourd qu’il faut le suivre pour qu’ il soit et qu’il dure. L’homme de sens social suit
lui donnant le dernier vice à ses yeux, c’est à savoir l’hypocrisie, pour qu’ il ne puisse point passer pour un personnage sympa
sensibles et tendres, qui sont pour les rendre sympathiques, qui sont pour que l’on n’emporte pas d’eux une impression qui ne so
orturer les sots ; il montre aux sots les coquins exploitant les sots pour que les sots se tiennent sur leurs gardes meurtrières
ue comme « instrument » du comique dirigé contre les honnêtes gens et pour que ceux-ci, s’il est possible, apprennent à se défie
enterré à jamais ; — qu’il n’y cède pas, son cœur est assez desséché pour qu’ à la fois il ne soit plus touché que par choc en r
u’à la fois il ne soit plus touché que par choc en retour du passé et pour que , en présence d’une sensation nouvelle, il ne bond
u dernier acte. On voit, au moins, que Molière a pris ses précautions pour que le spectateur ne s’étonnât pas de voir Don Juan f
a du vrai et du faux ici. Du vrai : j’ai fait remarquer moi-même que, pour que Tartuffe cherche à séduire Elmire, il faut, d’abo
est un rite, et Tartuffe doit croire qu’il faut faire une déclaration pour que la recherche soit « dans les formes ». Et d’autre
r plus de grandeur, plus de grandeur sinistre, mais plus de grandeur. Pour que cela. restât naturel il suffisait de proportionne
refus « promettent toute chose ». Ici elle sent qu’elle va trop vite pour que ce soit vraisemblable et elle se reprend, et lour
personnages de ses petites pièces ne sont complexes. Cela est juste. Pour qu’ un personnage soit complexe, par définition il fau
sont trop contraires, sont trop pour elle des dangers et des écueils pour que la passion maîtresse ne les supprimât point si el
our, dont il est en passe, des machines que l’on pourrait faire jouer pour qu’ il l’obtînt, des gens d’un grand poids chez qui il
as que je feu félicite, d’abord parce que, en thèse générale, je suis pour qu’ on étudie tout et pour que l’on n’imite rien, ensu
abord parce que, en thèse générale, je suis pour qu’on étudie tout et pour que l’on n’imite rien, ensuite parce que particulière
e a tout simplement dédaigné l’art des préparations comme trop facile pour qu’ il fût soigneux de s’en occuper. Remarquez qu’il n
uements provisoires, des dénouements pro tempore. Mais aussi il faut, pour que ces dénouements suffisent, que l’intrigue soit tr
ait jouer une intrigue très légère, à peine marquée, juste suffisante pour qu’ il y ait pièce, intrigue qui sera dénouée par un d
l y ait pièce, intrigue qui sera dénouée par un dénouement accidentel pour que la pièce soit finie. Il sait trop son art pour fa
20 (1809) Cours de littérature dramatique, douzième leçon pp. 75-126
n décidant de tout, ne rend pas tout uniforme. Comme on a été obligé, pour que les rôles des Sganarelle, des Mascarille, des Sca
marier, élève une fille dans une ignorance absolue de toutes choses, pour qu’ elle lui reste fidèle, et que le résultat de cette
ents ou même contraires à tous les élans de la véritable imagination. Pour qu’ un ouvrage leur inspire de l’estime, il faut qu’il
t pas de parler des productions de cette époque, avec assez de détail pour que je puisse amener les remarques générales à l’occa
ce un auteur comique rende hommage au Misanthrope comme à son modèle, pour que je sache d’avance où le mèneront ses efforts. Il
21 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XIII. Retour de Molière à Paris » pp. 225-264
use de toute sorte de précautions pour le faire entrer chez elle, et, pour qu’ on ne les découvre point, n’allume point de lumièr
par colère, ne nie la vérité. Zucca répond qu’il y a trop de témoins pour que cela soit possible. Ils voient venir Pandolfo et
rement à sa fortune. Sa réputation fut assez grande, sous ce rapport, pour qu’ une tradition, dont les échos, il est vrai, n’ont
22 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XX. Des Pieces intriguées par le hasard. » pp. 223-240
vieillard sera couché. Scene X. Fabio revient & appelle de loin pour qu’ on l’éclaire. Dom Félix veut se cacher dans le cab
n’est point le hasard qui forme l’action, n’en déplaise à Riccoboni. Pour que cette piece fût intriguée par le hasard, il faudr
23 (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132
esse, Lélie et Célie, se trouvent mal à point, et l’un après l’autre, pour que Sganarelle, en recueillant Célie chez lui, donne
llant Célie chez lui, donne à sa femme le soupçon qu’il la trompe, et pour que celle-ci, à son tour, en venant au secours de Lél
vers de son tuteur. Sganarelle est vain : on lui dira qu’il est aimé, pour qu’ il aille dire à Valère qu’il ne l’est pas ; il est
une coquette, et cela lui était bien dû. Il était trop homme de bien pour que Molière ne lui épargnât pas ce malheur. Seulement
indulgence ? Armande Béjart ne ressemblait-elle pas trop à Célimène, pour que le mari de l’une n’eût pas tous les sentiments de
24 (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722
716-30. Il en résulte que le succès du Carnaval avait été assez grand pour que , joué d’abord en 1675, il fût repris en 1700, et
assez grand pour que, joué d’abord en 1675, il fût repris en 1700, et pour qu’ une partie de cette partition fût jouée en 1716, s
œuvres de Molière, la farce du Maître d’école eut assez de réputation pour que Lully s’en souvint quand il composa, de pièces et
25 (1706) Lettre critique sur le livre intitulé La vie de M. de Molière pp. 3-44
insi des autres. Il me suffit que le Public soit content de leur Jeu, pour que je sois persuadé que j’ai raison, surtout aujourd
aire entendre que le Métier de Comédien a de [trop] grands principes, pour que des gens si mal élevés puissent les savoir. Si on
26 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. M. DE BEAUMARCHAIS. » pp. 442-462
mber & prend la fuite : le vieillard projette d’écrire à son fils pour qu’ il vienne bien vîte punir l’insolent qui les désho
Le Lord Clarandon devient épris d’Eugénie ; elle est trop vertueuse pour qu’ il puisse se flatter de l’avoir en qualité de maît
27 (1909) Deux ennemis de la Compagnie du Saint-Sacrement : Molière et Port-Royal (Revue des deux mondes) pp. 892-923
e vouloir répandre son pamphlet partout, le tirage en fut assez grand pour qu’ aujourd’hui l’on en retrouve de nombreux exemplair
membres de la Compagnie) qui faisaient une tournée de sollicitation «  pour que fût prohibé le jeu de hoca, » naguère importé d’I
rsista, malgré le mauvais succès, à harceler les curés et les évêques pour qu’ ils contraignissent les médecins à faire confesser
oin le scepticisme de l’homme du monde renforcé de celui du diplomate pour que ses contemporains le classent parmi les libertins
28 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XI. » pp. 218-250
nuit avec lui, sans s’appercevoir de la tromperie : elle l’accompagne pour qu’ il sorte sans courir aucun danger ; elle s’apperço
que Don Juan est le meurtrier du Commandeur. Le Roi donne des ordres pour qu’ il soit arrêté mort ou vif. On vient demander just
es. Don Philippe tâche de consoler Amarille. Ils prennent des mesures pour que Don Juan n’échappe point. Celui-ci, craignant d’ê
29 (1706) Addition à la Vie de Monsieur de Molière pp. 1-67
Je parle indéfiniment des mauvaises, qui sont en assez grand nombre, pour que je puisse m’en plaindre, sans nommer les Auteurs 
retomber ce reproche sur mon Censeur. Je souhaite en avoir assez dit pour qu’ il puisse comprendre que les principes de l’Orateu
int, et s’en tient au premier sens des termes ; il faut tout lui dire pour qu’ il le sente. Si l’on prenait toutes les petites ci
30 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXII. Des Pieces à caractere. » pp. 253-258
u’il approuve sa tendresse, & qu’il va l’introduire auprès d’elle pour qu’ ils puissent se parler tête à tête. Il le conduit
31 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Prologues. » pp. 118-138
uatre chevaux : j’en avois fait ôter deux, & casser une des roues pour qu’ il ne pût s’en servir ; mais il se trouva là un br
p; je veux qu’il s’appelle l’Orphelin de Tchao : élevez-le avec soin, pour qu’ il venge un jour ses parents. La Princesse. Ah ! v
32 (1821) Notices des œuvres de Molière (VI) : Le Tartuffe ; Amphitryon pp. 191-366
e La Thorillière, acteurs employés dans un trop grand nombre de rôles pour qu’ il fût possible de donner aucune représentation ut
ritables motifs ? On les ignore entièrement : c’en devrait être assez pour qu’ on s’abstînt de les condamner. Tout le monde, du r
onsacré par un chef-d’œuvre de l’antiquité. Il n’en fallait pas moins pour qu’ il osât se produire sur un théâtre moderne. Trente
33 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XVI. Pieces intriguées par un événement ignoré de la plupart des Acteurs. » pp. 192-198
eces intriguées par un événement ignoré de la plupart des Acteurs. Pour que les pieces de ce genre soient bonnes, il faut que
34 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXIV » pp. 394-401
que je soutienne longtemps la vie que je mène. Je prends trop sur moi pour que l’esprit et le corps n’y succombent pas, peut-êtr
35 (1882) Molière (Études littéraires, extrait) pp. 384-490
ais il veut pourtant faire savoir à tous son changement de fortune, «  pour que ses flatteurs se pendent de dépit ». Cette fantai
une coquette, et cela lui était bien dû. Il était trop homme de bien pour que Molière ne lui épargnât pas ce malheur. Seulement
scène du sonnet témoigne qu’il n’affiche pas volontiers son opinion. Pour qu’ elle s’échappe, il faut qu’on le pousse à bout. D’
seulement par sa muette présence, mais bien par son caractère ; car, pour que l’épreuve lui paraisse décisive, il faut que sa v
re qui voulait graver dans notre souvenir une impression ineffaçable. Pour que son héros devînt populaire, il fallait que sa tai
original, mais représenté d’un côté par un poète qui le met en action pour qu’ il soit vu de loin, de l’autre par un moraliste qu
nt pas même d’exagérer le mouvement, d’accentuer un peu trop la voix, pour que tout soit vu et entendu, à longue portée, sans éq
ontiers faire la leçon, le voisinage de Tartuffe domine trop la scène pour que son ombre ne se projette pas sur tout ce qui l’en
mour du grec. Sa vertu, elle la fait même payer assez cher à Chrysale pour qu’ il n’en doute pas. Son trait saillant, c’est l’amb
ne 1.) 175. Vadius ne fait que traverser la scène. Mais cela suffit pour qu’ on ne l’oublie pas. Notons qu’il y a des nuances d
36 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE II. La Débauche, l’Avarice et l’Imposture ; le Suicide et le Duel. » pp. 21-41
à son valet38 ; que sa lâcheté hypocrite39 cause même assez d’horreur pour qu’ on voie avec soulagement la foudre tomber enfin su
ement un honnête homme, quoique dans la réalité il y ait grand-chance pour que les choses tournent autrement. Il cherche pour se
37 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre VII. Le théâtre français contemporain des Gelosi » pp. 119-127
ature proprement dite. Il faut qu’il s’écoule un demi-siècle au moins pour qu’ on en vienne à être assez maître de son propre gén
38 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. De l’Action, du Nœud, des Incidents. » pp. 165-171
rochant ou en éloignant la catastrophe qui doit tour dénouer. Il faut pour que le nœud d’une action soit dans les regles dictées
39 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXXIV. On peut faire usage de tous les caracteres. » pp. 378-385
référence, il ne lui donne jamais assez de supériorité sur les autres pour qu’ il puisse les rendre subalternes, & devenir pr
40 (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -
re de cette étude : elle est trop essentielle et trop caractéristique pour qu’ il fût possible de l’omettre ici. Ce morceau excep
41 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXX » pp. 330-337
Ensuite ce n’était pas une autorité assez grande que M. de Coulanges pour que sa femme apprît à madame de Sévigné, comme une no
42 (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352
et il parle du vrai dormir avec trop de passion et de reconnaissance pour qu’ on ne soit pas assuré qu’il en ait souvent savouré
tilité, ton plaisir, ton caprice ; Selon ces lois condamne-moi : et, pour qu’ on ne puisse pas se tromper au sens de ce réquisit
43 (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908
age sur la conduite et le caractère d’Armande une opinion assez nette pour qu’ il ne soit pas nécessaire de l’exposer longuement.
l’on en a pour moi, et que l’on eût plus de justesse dans sa conduite pour que j’eusse l’esprit tranquille. Mais ma femme, toujo
e Oliva, enfin celui du président Lescot par le cardinal de Rohan. Et pour que rien ne manque au parallèle, de même que la reine
le factum où elle était si maltraitée. J’ai assez parlé du personnage pour qu’ il ne soit pas utile de le présenter à nouveau. Ma
44 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre III. — Du drame comique. Méditation d’un philosophe hégélien ou Voyage pittoresque à travers l’Esthétique de Hegel » pp. 111-177
a synthèse de l’un et de l’autre. IX Shakespeare est trop grand pour que l’on puisse définir son génie par un trait. Mais,
te avare n’a mesuré que la dose d’intelligence strictement nécessaire pour que les spectateurs puissent savoir au juste qui elle
on n’a pas permis un véritable développement de la poésie dramatique. Pour que la véritable action tragique soit possible, il es
é et de ses droits doit s’être manifestée à un plus haut degré encore pour que la comédie puisse apparaître. T. V, p. 166. 207
45 (1802) Études sur Molière pp. -355
aint- Paul ; je le vois donner à ses camarades d’assez bons conseils, pour que leur réunion obtienne le titre de l’Illustre Théâ
eils, pour que leur réunion obtienne le titre de l’Illustre Théâtre ; pour qu’ on leur confie des nouveautés ; pour que, fiers de
titre de l’Illustre Théâtre ; pour qu’on leur confie des nouveautés ; pour que , fiers de leurs succès, ils osent élever un théât
lever un théâtre en règle, dans le jeu de paume de la Croix-Rouge, et pour que le public coure en foule payer leurs plaisirs. Je
appelée la servante de Molière. Ma mémoire me sert encore assez bien, pour que je puisse dire à nos jeunes premiers 15 : si vous
malheur, est bien plus comique. Il a même fallu tout l’art de Molière pour qu’ elle ne devînt pas intéressante. Il est certain qu
ieillesse sur les planches, et forcent leurs doubles à faire des vœux pour que le ciel les délivre des perpétuels. Que dirons-no
— Molière n’ayant pas donné à son Alceste des couleurs assez fortes, pour qu’ il pût être l’unique objet d’une pièce en cinq act
ion ou de quelques propositions hasardées ; en voilà sans doute assez pour qu’ une épouse délicate prie son mari ………………………… De n
mener par le bout du nez, jusques à quand suffira-t-il de te flatter, pour qu’ en vrai bâilleur aux corneilles, tu restes émervei
, toujours inébranlable, dès qu’il avait pris une résolution, insista pour qu’ il fût maintenu. Louis XIV fit mettre sa maison so
prendre pour gendre son libérateur, imaginait en même temps un moyen pour que le choix tombât sur l’amant qu’il protège, et si
exécutée, et qu’on ne fait que répéter ; en voilà assez, sans doute, pour que sa prompte exécution ne surprenne pas, mais comme
, aucun auteur n’a fait chanter à ses amants des choses assez simples pour que les personnes les plus contraires à leur passion,
46 (1900) Molière pp. -283
st aussi la plus rouée, la plus perverse, Célimène ? Et comment faire pour que de ce rigoureux jugement il ne retombe pas une bo
x de ceux de ses contemporains qui obtenaient des succès au théâtre ; pour que Beaumarchais fût mieux anéanti, et ce n’était pas
octeur, et à qui les assistants souhaitent une longue série de fléaux pour qu’ il puisse gagner sa vie et prospérer. LE CHIRURGI
Molière est infiniment trop délicate pour être traitée en public, et pour que nous recherchions ici toutes les suppositions aux
, que le peut être la différence des espèces. Je sors du genre humain pour que ma pensée (ou du moins la pensée de Goethe) soit
ari systématique qu’il a voulu peindre, le mari égoïste et fantasque, pour qu’ il soit complet, il faut en effet qu’il fasse des
toute force qu’Arnolphe expliquât et commentât Les Maximes du mariage pour qu’ il fût un caractère vrai, et Molière n’a sans dout
lui seul toute la comédie ; il y tient cependant une trop large place pour qu’ on n’essaie pas de le défendre de deux reproches q
suppose, outre la victoire sur nos passions, toujours assez violentes pour qu’ il ne nous soit point permis de les ignorer, le sa
accident, et rhéteur par nature. Nous lui enverrons Plaute et Térence pour qu’ il décide entre eux. NAPOLÉON Ou Caton pour qu’il
rons Plaute et Térence pour qu’il décide entre eux. NAPOLÉON Ou Caton pour qu’ il lui donne des leçons de grammaire. CÉSAR En ce
47 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre IX. Beltrame » pp. 145-157
ltrame va se réfugier chez un de ses amis à Rome ; Lucrezia l’implore pour qu’ il l’emmène avec lui, en promettant d’être plus sa
48 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XVII. Conclusion » pp. 339-351
ligeait à revenir toujours à l’action rapide. Il fallait peu de chose pour que la foule lui préférât les mimes et les sauteurs a
49 (1855) Pourquoi Molière n’a pas joué les avocats pp. 5-15
public, ignore-t-on que les portes de l’audience ne sont pas ouvertes pour que des esprits oisifs ou blasés viennent chercher le
50 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. De l’Exposition. » pp. 139-164
ments passés causent à ce même personnage assez de joie ou de chagrin pour que ses transports le forcent comme malgré lui à se l
oint. Ce dernier vers fait pour nous la critique de tous les autres. Pour que l’exposition soit bonne il ne suffit pas d’appren
51 (1873) Le théâtre-femme : causerie à propos de L’École des femmes (Théâtre de la Gaîté, 26 janvier 1873) pp. 1-38
[Note] Mon frère, Cher ami, j’imprime cette petite chose pour que tu puisses la lire, n’ayant pu l’entendre. Cela s
se font mettre au violon tout exprès, par protection du gouvernement, pour que vous ayez l’espoir d’y trouver des horreurs. Voil
52 (1856) Molière à la Comédie-Française (Revue des deux mondes) pp. 899-914
trouvera prêt à proclamer l’autorité légitime de la tradition ; mais pour que la tradition obtienne le respect, il faut absolum
y en a parmi eux qui se trompent depuis trente ans, est-ce une raison pour qu’ on ne les éclaire pas sur leur méprise ? Le Théâtr
53 (1862) Molière et ses contemporains dans Le Misanthrope (Revue trimestrielle) pp. 292-316
bien grande puissance d’observation, un talent profondément humain, pour que les réalités vinssent de la sorte se placer sans
alités vinssent de la sorte se placer sans cesse à côté des fictions, pour que le public qui écoute et le critique qui annote, e
54 (1819) Notices des œuvres de Molière (I) : L’Étourdi ; Le Dépit amoureux pp. 171-334
Lucile, il s’élève jusqu’à ce degré où le talent s’appelle du génie. Pour que deux amants intéressent au théâtre, il faut qu’il
55 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VIII. M. DE SAINT-FOIX. » pp. 288-296
es Graces, en un acte, en prose. Voici encore une piece trop connue pour qu’ il soit besoin d’en faire l’extrait. L’Auteur dit
56 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XI » pp. 89-99
t l’incontinence publique marchant ensemble sous la bannière du goût. Pour que cette double réaction soit bien comprise, il est
57 (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Première partie. — L’école dogmatique — Chapitre premier. — Une leçon sur la comédie. Essai d’un élève de William Schlegel » pp. 25-96
En effet, le sérieux et la gaieté ont assez souvent la même apparence pour qu’ il puisse nous arriver presque à chaque pas, si no
d’un peuple léger ils ont pris le poste d’honneur de la pédanterie ; pour qu’ un ouvrage leur inspire de l’estime, il faut qu’il
issante que l’arbitraire y règne davantage. — Sixième leçon. 33. Pour que la gaieté des spectateurs se soutienne pendant to
tel qu’il est, avec un événement véritable. — Septième leçon. 39. Pour qu’ un ouvrage soit poétique, il faut premièrement qu’
58 (1705) La vie de M. de Molière pp. 1-314
ans une épinette, lui attira du monde les premières fois suffisamment pour que tout le Public fût averti que jamais on n’avait v
que les Comédiens pressèrent Molière d’obtenir de Sa Majesté un Ordre pour qu’ aucune personne de sa Maison n’entrât à la Comédie
s la coulisse il voulut entrer, quelques efforts que Molière employât pour qu’ il n’en fit rien. Sancho tirait le licou de toute
l’on en a pour moi, et que l’on eût plus de justesse dans sa conduite pour que j’eusse l’esprit tranquille. Mais ma femme, toujo
ans ces occasions. Si on lui avait dérangé un livre, c’en était assez pour qu’ il ne travaillât de quinze jours ; il y avait peu
protection. Mais le Grand Seigneur avait les sentiments trop élevés, pour que Molière dût craindre les suites de son premier mo
59 (1884) Molière et les Allemands pp. 3-12
vait, là aussi, un autre aïeul à moi qui ouvrait positivement la main pour que Molière fut mieux fêté ! Un Moliériste placé dans
60 (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-
journaux n’ont rien dit : probablement le fait était trop près d’eux pour qu’ il les intéressât. Ces journaux qui, il y a trois
61 (1911) L’Étourdi de Molière et Le Parasite de Tristan L’Hermite (De Jodelle à Molière) pp. 292-302
Inavvertito que l’on remarque dans l’Étourdi sont trop insignifiantes pour qu’ il soit nécessaire de les signaler en ce moment. M
62 (1820) Notices des œuvres de Molière (V) : L’Amour médecin ; Le Misanthrope ; Le Médecin malgré lui ; Mélicerte ; La Pastorale comique pp. 75-436
ui n’étaient dirigés que contre l’autre et ne tombaient que sur elle. Pour que le reproche fait à Molière par Rousseau fût fondé
préjudice à la pureté de l’idiome. L’un est trop différent de l’autre pour qu’ on puisse s’y méprendre et les confondre jamais. L
63 (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116
de faire de bons Vers. Ils étoient amis & se connoissoient assez pour que l’on puisse s’en raporter au temoignage d’un homm
ans une Epinette, lui attira du monde les premieres fois suffisamment pour que tout le Public fût averti que jamais on n’avoit v
ue les Comediens presserent Moliere d’obtenir de Sa Majesté un ordre, pour qu’ aucune personne de sa Maison n’entrât à la Comedie
la coulisse, il voulut entrer, quelques efforts que Moliere employât pour qu’ il n’en fît rien. Sancho tiroit le licou de toute
en a pour moi, & que l’on eût plus de justesse dans sa conduite, pour que j’eusse l’esprit tranquille. Mais ma femme, toûjo
ans ces occasions. Si on lui avoit dérangé un livre, c’en étoit assez pour qu’ il ne travaillât de quinze jours ; il y avoit peu
a protection. Mais le grand Seigneur avoit les sentimens trop élevez, pour que Moliere dût craindre les suites de son premier mo
64 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XLII. De l’art d’épuiser un Sujet, un Caractere. » pp. 493-503
faire des héritiers avec une jeune personne honnête & sans bien, pour qu’ elle lui eût obligation de sa fortune, & qui l
65 (1836) Une étude sur Molière. Alceste et Célimène (La Revue de Bordeaux et Gironde unies) pp. 65-76
ier son indépendance à sa gloire, de se créer de puissans protecteurs pour qu’ il lui fût donné de lire des marquis et de stygmat
66 (1871) Molière
un spectacle et lui avait donné quinze jours, pas une heure de plus, pour que rien ne manquât à ces fêtes de l’esprit ! Ces qui
besoin de silence et de solitude. Elle priait si bien madame Armande, pour qu’ elle sortît plus tard, et rentrât plus tôt dans ce
67
mise en charpie, la famille d’Orgon qui n’existe plus, et pourquoi ? Pour qu’ Elmire ait le plaisir de s’asseoir auprès de Cléan
z délicate et le tête-à-tête bien assez vif, même avec le grand jour, pour qu’ on n’y ajoute pas les mauvaises pensées que suggèr
ocu imaginaire édité par le Sieur de Neuf Villenaine est assez connue pour qu’ il suffise de la rappeler à nos lecteurs sans la r
ons, à quelques-unes près, sont les mêmes. La rue à peine assez large pour que deux voitures puissent y passer de front, n’est m
, et le trottoir, quand il existe, laisse à peine la place suffisante pour qu’ un piéton puisse y passer. Çà et là de grosses bor
e de Molière. Nous autres, Moliéristes allemands, ferons notre devoir pour que ce but soit atteint. Le Moliérisme ne s’affaiblit
68 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VI. Des Pieces à scenes détachées, dans lesquelles une Divinité préside. » pp. 61-74
n frere, Que nos enfants soient bien, qu’ils ne puissent faillir ; Et pour que leur état soit durable & tranquille, Je n’acc
69 (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XIII » pp. 109-125
ite un séjour de quelque temps à Paris. Je remarque ces circonstances pour que le lecteur ait une idée juste de l’état de la mai
70 (1892) Vie de J.-B. P. Molière : Histoire de son théâtre et de sa troupe pp. 2-405
ffet. Quelle force comique ne faut-il pas qu’il y ait dans ces œuvres pour qu’ à deux cents ans de distance, chez un peuple dont
il était trop difficile aux novateurs de l’enrôler sous leur drapeau pour qu’ ils ne lui en gardassent point rancune. Si quelque
r son grossier badinage il donnait trop bien raison à ses adversaires pour que ses protestations fussent efficaces. D’autres écr
ndit les représentations. Le succès avait été toutefois trop éclatant pour qu’ une pareille mesure pût être maintenue. Molière, q
tout son avenir, avait eu soin de frapper ce premier coup assez fort pour qu’ il ne fût pas possible d’en étouffer immédiatement
bruit, et d’intéresser assez vivement l’opinion publique à son œuvre  pour qu’ il devînt malaisé de la supprimer sans façon. La d
uses ne fut pas sitôt apaisée, et qu’il y avait d’excellentes raisons pour que le comédien ne se pressât point de s’attirer de n
de Louis XV, raconta au père de M. Campan une anecdote trop marquante pour qu’ elle soit restée inconnue. Cependant ce vieux méde
possible. Sur cinq enfants, il y avait trois mineurs ; cela suffisait pour que  tous les enfants fussent désignés comme tels, du
it trop au langage le moins éclairé du catéchisme ou du confessionnal pour que beaucoup de gens n’y vissent point un attentat co
l’anonyme : il avait même bien soin de répéter son nom assez souvent pour qu’ on ne l’oubliât point. La pièce ne faisait, du res
es que de donner ainsi aux occupations de chaque jour assez de relief pour que le tableau en soit à jamais vivant. Molière nous
s Médecins et l’on voudrait aussi y avoir Tartufe. Parlez-lui en donc pour qu’ il tienne ces deux comédies prestes et s’il y a qu
e Mariage de Figaro. Mais il allait trop au delà du temps où il parut pour que la portée en fût saisie tout entière. On n’en dev
et il lui suffisait de menacer Chapelle de mettre au jour son ouvrage pour que le joyeux épicurien renonçât hautement à toutes p
taient adressées : « Les médecins font assez souvent pleurer, dit-il, pour qu’ ils fassent rire quelquefois. » C’est peu après c
ui-même, et dans quelle région élevée et sereine habitait son esprit, pour que la création la plus pure et la plus parfaite de l
la coulisse, il voulut entrer, quelques efforts que Molière employât pour qu’ il n’en fît rien. Il tirait le licou de toute sa f
ut le terrain ? S’il renonçait à un rôle, il n’y avait point de motif pour qu’ il ne renonçât pas à la comédie. Boileau tenait le
à se plaindre de leur manque d’amitié : « Que leur avait-il donc fait pour qu’ ils voulussent se noyer sans lui, si c’était là un
as. Mais notre amant, qui croyait être assez d’intelligence avec elle pour qu’ elle dût comprendre cette façon de s’exprimer, tou
a réuni les qualités morales qui doivent accompagner le génie comique pour qu’ il accomplisse sa destinée ; s’il eut la souplesse
71 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92
o : qu’il était plus facile de l’écrire que de le faire représenter. Pour que Le Mariage de Figaro fût représenté tout à l’aise
nnes n’est pas moins remarquable que tout ce qui précède. À coup sûr, pour qu’ il en parlât ainsi, Bossuet trouvait mademoiselle
de M. Argan ressemble trop à notre histoire courante de chaque jour, pour qu’ elle puisse beaucoup nous plaire. D’où il suit que
ce sont là des qualités trop rares, surtout dans la comédie moderne, pour qu’ on soit le bienvenu à s’armer de la Grammaire et d
iennes impuissantes. D’ailleurs, le Théâtre-Français n’est pas ouvert pour qu’ on s’y amuse tous les jours. Il faut bien que les
amemnons et ces Frontins de hasard ! Il faut encore un certain mérite pour qu’ un homme d’une certaine valeur vous fasse l’honneu
ut qu’en effet Elmire soit une femme de bon goût et de sincère vertu, pour que , non seulement M. Orgon, son mari, mais encore no
72 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXIX. Des Caracteres propres aux personnes d’un certain rang seulement. » pp. 312-327
, Monsieur, une grande quantité de papiers que le Syndic vous envoie, pour que vous les examiniez, & que vous donniez votre
73 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IV. » pp. 57-70
r par Arlequin, vêtu en femme. Elle lui donne la clef de son cabinet, pour qu’ il aille y prendre tous ses bijoux. Magnifico &
74 (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XI. Il Convitato di pietra (le Convié de pierre) » pp. 191-208
res sont à la poursuite de Don Juan, ils offrent une bourse au valet, pour qu’ il leur découvre la retraite où son maître est cac
75 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393
ordinaires soit loyalement dépensé. Le public prodigue cet argent-là pour qu’ il soit prodigué. La caisse d’épargne doit être ex
ait comme lui, s’estime trop heureuse d’épouser un si grand homme, et pour que l’épouse n’ait pas à rougir des grandeurs de l’ép
était sauvé. En même temps, nous avions prié et supplié le parterre pour qu’ il portât toutes sortes d’égards et de bonne amiti
ue lui, ne comprenait les grâces du style, les finesses du dialogue ; pour qu’ il fût à l’aise dans un rôle, il fallait nécessair
êlée de faiblesse et d’enjouement, ce sont là autant de grands motifs pour que nous portions un vif intérêt à cette aimable héro
ches habits. Il a fait des pièces tout exprès, on le dirait du moins, pour que sa comédienne eût de temps à autre une belle occa
l faut que l’esprit d’un homme soit poussé à une puissance incroyable pour qu’ Aristophane ait échappé au déshonneur ; quelle pat
oreille mille consolations décevantes ; mais, hélas ! encore faut-il pour que ces consolations soient entendues, pour que vous
s, hélas ! encore faut-il pour que ces consolations soient entendues, pour que vous soyez à l’aise avec ces amis immortels, qu’i
bité. Statue ! Maintenant allez donc faire un sermon à un pareil mari pour qu’ il reste, comme c’est son devoir, dans le statu qu
pas assez riche ; il se laisse aimer de Lucinde, qui est assez riche pour qu’ il l’épouse, mais il ne l’épousera que s’il ne tro
eux que nous ne saurions le dire, et le conseil est trop bon à suivre pour que nous le passions sous silence en songeant à tant
76 (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347
int l’avis des maîtres… et cela non sans quelque apparence de vérité. Pour que ces critiques aient tort, en effet, il faut oubli
c précieux : Medulla seatet. Si de sa vie nous passons à ses écrits, pour que ces critiques aient tort, de ses écrits il but en
77 (1874) Leçon d’ouverture du cours de littérature française. Introduction au théâtre de Molière pp. 3-35
dèrent trop bien avec l’heureux événement de la délivrance nationale, pour que cette concordance ait été l’effet du hasard. Tout
lu bien du temps pour se débrouiller entre tant d’éléments divers, et pour que de cet alliage sortît la littérature du XVIIe siè
78 (1886) Molière : nouvelles controverses sur sa vie et sa famille pp. -131
as de celles qui plaisent aux délicats, mais elle tient trop au sujet pour qu’ il me soit permis d’en faire grâce h mes lecteurs,
coups ne frappent que ceux qui s’y exposent. Le livre est trop connu pour que je m’attache à l’examiner. On a dit et redit que
fallait-il pas que la réputation de Mlle Molière fût bien compromise pour qu’ un libertin trouvât tout simple d’acheter ses fave
elles, ne peuvent fournir que des points de comparaison insuffisants. Pour qu’ on fût assuré de réussir dans une pareille tâche,
atures ressemble trop à celle de beaucoup d’écritures du XVIIe siècle pour que j’en puisse déduire une écriture certaine. Quant
79 (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514
elle; c’est un morceau un peu long et assez connu, mais trop précieux pour qu’ on nous fasse un reproche de le donner de nouveau,
y règne est assez bien celui de la poésie dramatique au XVIIe siècle, pour qu’ il soit possible de les prendre pour exemple. Ce s
lant la théorie du succès. Il suffit de la prendre dans son vrai sens pour qu’ elle repose aussi sur une base durable, et qu’elle
nous manquerions le caractère de la pièce. Tartuffe n’a qu’à paraître pour que tous les autres personnages soient effacés. Dans
le : Philinte et Eliante auront lieu d’être contents l’un de l’autre. Pour que la compagnie soit au complet, il ne manque que l’
oulève pas même le voile; il ne fait que le montrer; mais cela suffit pour que l’imagination prenne son vol, et que ce drame d’u
t nécessaire pour rester humaine; elle doit agir autant qu’il le faut pour qu’ elle reste vivante. En outre, il n’est pas inutile
ngues, nécessairement abstraites et hérissées de trop de difficultés, pour que j’entrevoie le moyen de les rendre intéressantes,
a tragédie française, il a fallu recourir à Shakespeare. Il faudrait, pour que l’objection eût quelque valeur, que les emprunts
80 (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221
ous est toujours sympathique. Il intéresse enfin parce qu’il fallait, pour que la leçon de l’auteur fût efficace, que le caractè
, et enfin l’impossibilité de détromper son mari par d’autres moyens, pour qu’ elle s’y résignât. Elmire, malgré la légitimité de
nous développerons plus au long cette remarque, mais il a bien fallu, pour que ce moyen obtînt constamment une pleine réussite,
à sa disposition le bâton qu’il cherche, le meilleur moyen à employer pour qu’ il en fustigeât son fils serait assurément de para
ts qui l’animent. S’il est nécessaire, dans cette sortie de Tartuffe, pour que sa physionomie haineuse et vindicative, pour que
sortie de Tartuffe, pour que sa physionomie haineuse et vindicative, pour que sa parole menaçante, fassent plus d’impression su
81 (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392
ns donne de cette vérité nouvelle des preuves qui sont trop spéciales pour que je les rapporte, et il termine en faisant remarqu
plus inexplicable. Si elle garde cette réserve, qui était nécessaire pour que la pièce eût lieu, c’est que Molière l’a revêtue
oserait même pas aux hasards d’une aussi scabreuse aventure. Il faut, pour que cette terrible scène soit possible, la femme que
le, et je n’ai pas besoin de vous renvoyer à la suivante de Corneille pour que vous vous rappeliez que le mot veut dire : demois
assez d’autres défauts sur la conscience, ce misérable monologuiste, pour qu’ on ne le charge pas de ceux dont il n’est pas resp
, au retour, épousé Philaminte et leur fortune est assez considérable pour que Philaminte perde, sans en être ébranlée, un procè
x qui l’entourent, car ils n’ont qu’à boucher le bouton de sa maladie pour que l’éclat jaillisse. Savez-vous bien, mon cher Cade
e cette donnée, de deux frères jumeaux se ressemblant assez de visage pour qu’ on les prît l’un pour l’autre, les quiproquos qu’i
’ils ne demandent pas mieux. Les plaisirs de l’esprit sont trop rares pour qu’ on s’en retranche de gaieté de cœur. Votre dévoué
ersonnages éclos d’un rêve, il n’y avait pas à y songer ; il fallait, pour que le spectateur les admît sans peine, les montrer d
pant, et l’on arrive à tout. Voilà le trait. Mais comprenez-le bien : pour que ce trait porte, pour qu’il éblouisse à la fois le
ut. Voilà le trait. Mais comprenez-le bien : pour que ce trait porte, pour qu’ il éblouisse à la fois les yeux de tout un public,
le fait une heure plus tard, donner les deux mille piastres à Suzanne pour qu’ elle paye la rançon de son Figaro. Mais passons.
répandus dans le public. Ils sont trop présents à toutes les mémoires pour que j’insiste sur ce point. Eh bien ! cette colère de
rait pas de plain-pied dans ces sentiments de haine, dont il a besoin pour que son drame soit intéressant. Le Turcaret, de Lesag
raillerie aimable, il ne faudrait qu’un geste faux ou un mot brusque pour que le personnage, qui est presque toujours en scène,
près une assez longue interruption, une reprise éclatante de l’œuvre, pour qu’ on eût l’idée de revenir au texte du maître. C’est
82 (1819) Introduction aux œuvres de Molière pp. -
monde littéraire, il trouvait les esprits trop soumis à son autorité, pour qu’ il lui fût nécessaire de les convaincre par le rai
de fidélité que de profondeur, et s’attachant trop à la circonstance pour que ses tableaux fussent d’un intérêt durable. Après
comique, où malheureusement le travers principal est trop particulier pour que la peinture en soit utile et agréable au grand no
l voulait assurer sa succession. Une précaution lui sembla nécessaire pour que l’exercice de leurs droits comme héritiers ne pût
e médecine dont il faisait un si plaisant usage dans ses pièces ; et, pour que tout fût singulier dans le commerce qu’ils avaien
a légèreté. Dix mois avant sa mort, il s’était rapproché d’elle ; et, pour que tout leur fût commun, même le service de la table
uve à l’archevêque de Paris ; mais en même temps il écrivit au prélat pour qu’ il eût à faire cesser ce pieux scandale118, et Mol
83 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE VII. La Chaussée, imitateur de Regnard, d’un Auteur Espagnol, d’un Auteur Italien, d’un Romancier François, &c. » pp. 262-276
s larmes. — Qu’ai-je donc fait à M. le Marquis de Lon... disoit-elle, pour qu’ il m’outrage ainsi ? S’il m’a séduite au point de
84 (1922) La popularité de Molière (La Grande Revue)
lousie s’exprime, et cette douleur est trop sincère, trop personnelle pour qu’ on n’y retrouve pas l’expression des chagrins secr
85 (1845) Œuvres de Molière, avec les notes de tous les commentateurs pp. -129
: leur indifférence à cet égard est une chose presque incroyable ; et pour qu’ on ne m’accuse pas d’exagérer les oublis que j’ai
ermer beaucoup de vérités. Il faudrait une fatalité bien inconcevable pour que Baron eût toujours menti en parlant de son bienfa
ans une épinette, lui attira du monde les premières fois suffisamment pour que tout le public fût averti que jamais on n’avait v
que les comédiens pressèrent Molière d’obtenir de Sa Majesté un ordre pour qu’ aucune personne de sa maison n’entrât à la comédie
la coulisse, il voulut entrer, quelques efforts que Molière employât pour qu’ il n’en fît rien. Il tirait le licou de toute sa f
l’on en a pour moi, et que l’on eût plus de justesse dans sa conduite pour que j’eusse l’esprit tranquille. Mais ma femme, toujo
ans ces occasions. Si on lui avait dérangé un livre, c’en était assez pour qu’ il ne travaillât de quinze jours : il y avait peu
a protection. Mais le grand seigneur avait les sentiments trop élevés pour que Molière dût craindre les suites de son premier mo
) Ajoutons ici que le roi fit donner au prélat les ordres nécessaires pour que la sépulture fût accordée. Nous croyons devoir ra
86 (1886) Molière, l’homme et le comédien (Revue des deux mondes) pp. 796-834
et Chalussay, n’ont pas manqué de tirer parti, était assez frappante pour que le peintre n’ait pas cru pouvoir la dissimuler to
’ai essayé de donner des preuves, c’est assez de bonté et de bon sens pour que ces deux qualités fussent le fond essentiel de sa
ans ces occasions. Si on lui avoit dérangé un livre, c’en étoit assez pour qu’ il ne travaillât de quinze jours. Il y avoit peu d
87 (1884) La Science du cœur humain, ou la Psychologie des sentiments et des passions, d’après les oeuvres de Molière pp. 5-136
nt arrivées là, l’homme ne se possède plus, il est possédé par elles. Pour qu’ il puisse désirer et vouloir se soustraire à leur
ctes. L’aliéniste Leuret avait défini le fou: Un homme qui se trompe. Pour que cette appréciation fût juste, il aurait fallu la
homme qui raisonne juste en partant d’un faux principe. Mais encore, pour que cette définition fût complète, aurait-il fallu aj
ue l’homme est toujours doué de raison et de force morale suffisantes pour qu’ il soit capable de combattre ses passions, étudiez
s de son théâtre au point de vue où je l’ai étudié, j’en ai dit assez pour que chacun puisse suppléer à ce qui manque. Les pièce
88 (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215
il y a dans ton regard quelque chose de funeste ; tu es trop méchant pour que de toi, l’on rie, et tu es trop damné pour qu’on
e ; tu es trop méchant pour que de toi, l’on rie, et tu es trop damné pour qu’ on te sauve ; malheureux qui a dépassé même le dou
a le sujet de madame de Maintenon) à dire son terrible : Je le veux ! pour que la comédie de son comédien ordinaire soit représe
s allons ! Mais le travail et l’âge retardent nos pas, et d’ailleurs, pour que nous allions plus vite, que nous veux-tu ? Proud
lir Don Juan qui court au danger, l’épée haute, car au moins faut-il, pour que cet homme soit supportable, qu’il ne tienne ni à
89 (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269
r. Treize ans passés au service du premier manant qui donne cinq sous pour qu’ on le fasse rire ! Cette vie ne révèle point une â
s été et est encore aujourd’hui en France trop forte et trop publique pour que J’aie besoin d’en retracer même une légère esquis
, femme de grand mérite et de haute piété, se prononçait probablement pour qu’ il allât où Dieu l’appelait ; le père lui-même, éc
l’inepte Orgon. Il faut l’entière et rare imbécillité de ce bourgeois pour que le fourbe ne perde pas aussitôt tout crédit. La B
t que l’auteur a concédé de mauvaise grâce aux préjugés de la morale, pour que le ciel ne parût point joué comme les hommes, — o
nus de changer le monde, mais nous devons faire ce qui dépend de nous pour qu’ il change. Notre Seigneur n’a pas dit à ses Apôtre
isanthrope à cet excès, il suffit que la coquette le veuille un peu ; pour qu’ elle le veuille beaucoup, il suffit qu’elle entend
ée sur les confrères de la Passion par un arrêt du Parlement de 1541, pour que les pauvres fussent indemnisés de l’extrême dimin
90 (1772) De l’art de la comédie. Livre second. De ses différents genres (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE XXVII. Du Caractere des Professions. » pp. 284-302
i l’on doit venir. J’arrête les procès, loin de les soutenir. Je suis pour que l’on vive en bonne intelligence, Et ne fais jamai
91 (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE PREMIER. » pp. 5-19
-il, est amoureux de cette maudite esclave, je voulois la lui enlever pour qu’ il fût tout entier à votre fille. Alors le Docteur
92 (1772) De l’art de la comédie. Livre quatrième. Des imitateurs modernes (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. M. PALISSOT. » pp. 297-316
que son cœur est toujours à lui. Marton exhorte l’amant à se retirer pour qu’ on ne le surprenne pas avec son amante, & lui
93 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE IV. Jugement sur les Hommes de Molière. » pp. 65-82
ré quel ensemble de vertus supérieures doit se rencontrer en un homme pour qu’ il soit honnête homme. En cela, sa gloire ne peut
94 (1867) La morale de Molière « CHAPITRE VI. Les Femmes. » pp. 103-120
rbouillé 418. Toutes ces luronnes sont trop joyeuses et trop comiques pour que le spectateur puisse songer à condamner leur très
95 (1863) Molière et la comédie italienne « Textes et documents » pp. 353-376
de Catherine de Médicis pour les spectacles de la commedia dell’arte, pour qu’ on ne doute pas que l’apparition des artistes ital
96 (1772) De l’art de la comédie. Livre premier. De ses différentes parties (1re éd.) [graphies originales] « PRÉFACE. Du Genre & du Plan de cet Ouvrage. » pp. 1-24
un œil & de pleurer de l’autre, ils ont trop bien pris leur parti pour que mes réflexions puissent leur paroître bonnes. Ell
97 (1847) Le Don Juan de Molière au Théâtre-Français (Revue des deux mondes) pp. 557-567
e des éditions frauduleuses d’Amsterdam, 1683, et de Bruxelles, 1694, pour qu’ au xixe siècle, les derniers éditeurs de Molière
98 (1865) Les femmes dans la comédie de Molière : deux conférences pp. 5-58
x de la vie. Comment donc faire, si l’expérience nous vient trop tard pour que nous en puissions profiter ? Les auteurs dramatiq
de la dénigrer, et l’honnêteté est de nos jours assez rare au théâtre pour qu’ on sache gré à un auteur d’y être resté fidèle. Il
99 (1823) Notices des œuvres de Molière (VII) : L’Avare ; George Dandin ; Monsieur de Pourceaugnac ; Les Amants magnifiques pp. 171-571
s, on ne pouvait pas faire un autre raisonnement2. Il fallut du temps pour que cette excellente comédie triomphât du préjugé, et
re remarquée par l’histoire littéraire. Elle est assez extraordinaire pour que , dans ce temps, quelques personnes aient pu soupç
100 (1863) Histoire de la vie et des ouvrages de Molière pp. -252
Avis des éditeurs Nous n’avons rien négligé pour que cette nouvelle édition fût digne du grand homme d
es, le quart de la créance, qui était probablement la remise convenue pour que Molière et Madeleine Béjart se trouvassent à l’ab
lors inviolable du préjugé et de l’étiquette. Il fallait un Louis XIV pour que la France pût s’enorgueillir d’un Molière. Ce Roi
le parti qu’on avait à prendre. La frayeur portait la plupart à voter pour qu’ on sollicitât la révocation de la défense. Molière
vin émétique, de l’antimoine et de la charlatanerie. C’en était assez pour qu’ il ne fût pas plus ménagé par Molière que par Guy
e, sous prétexte, dit-on, que les médecins font assez souvent pleurer pour qu’ ils fassent rire quelquefois, et qu’institués pour
gnac, d’après lequel on a répété ce fait, sont trop peu dignes de foi pour qu’ on y prêtât le moindre crédit, lors même qu’on n’a
re prendre le change. Mais l’intention de l’auteur est trop manifeste pour qu’ on ne sente pas au premier examen que cette accusa
res à la reconnaissance des hommes de lettres et à l’estime du public pour que quelqu’un eût pu le croire « joué » ; et Molière,
à la perfection de l’ensemble. Molière n’avait rien négligé non plus pour que l’exécution scénique fût également irréprochable.
d, qu’il fallait la remplacer. Le jour de la fête était trop prochain pour qu’ une autre actrice pût apprendre le rôle. Force fut
la coulisse, il voulut entrer, quelques efforts que Molière employât pour qu’ il n’en fit rien. Il tirait le licou de toute sa f
ien pu, dans sa demande de privilège, s’arranger, quoi qu’il en dise, pour que le chancelier n’eût pas « toute la connaissance p
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